Revue de presse

Constituons !

« Deuil et résilience, genre et pulsion de vie, rituel et politique – dont la cruciale question des Premières Nations, soulevée dans Constituons de Christian Lapointe. »

Marie Baudet
Un festival peut-il contribuer au mieux-êtrede la planète ?,
lalibre.be, 20 juin 2019

« Seul en scène, vidéo projetée dans un décor de bureau administratif, le comédien avale un café filtre, déroule la tumultueuse histoire du débat constituant au Québec – systématiquement avorté au cours des 60 dernières années – et explique comment a été composée cette nouvelle assemblée citoyenne et paritaire, témoignages vidéos et Powerpoint à l’appui. Une espèce de « devoir de transparence » d’où émanent des préoccupations saillantes : la langue, les ressources naturelles, la représentativité, la laïcité, la diversité, les Premières Nations. »

Orianne Hidalgo-Laurier
Sortir de soi,
Mouvement – magazine culturel indisciplinaire, 14 juin 2019

« Avec son intensité, son intelligence du texte, sa folie du jeu. Il fait spectacle de tout, il ose tout, donnant littéralement corps à son projet. Il vocifère, il murmure, il joue, il provoque, et l’on retrouve l’énergumène qui mène des projets plus grands que lui, ce fou génial qui voulait lire tout Artaud. »

Michelle Chanonat
Constituons ! : Performance politique,
Revue Jeu, 2 juin 2019

« Constituons ! s’avère une franche tentative d’appréhender le théâtre comme d’autres à Athènes ou à Barcelone ont investi les places publiques : un espace concret d’exercice du pouvoir. »

Orianne Hidalgo-Laurier
Sortir de soi,
Mouvement – magazine culturel indisciplinaire, 14 juin 2019

« Avec l’appui de l’Institut du Nouveau Monde, le panel de 42 citoyens fut composé en mai et juin 2018, et les travaux de cette assemblée constituante représentative (en âge, genre, ethnicité, zone de résidence, catégorie socio-professionnelle…) et non partisane se sont étalés sur une année. L’artiste québécois s’est attelé à non seulement éclairer mais combler l’angle mort de l’histoire du Québec, en y enchâssant résolument la question trop longtemps occultée des peuples autochtones. »

Marie Baudet
Au Québec, l’art s’empare de la politique et colonise les lieux publics,
lalibre.be, 5 juin 2019

« C’est tout ce processus que retrace le spectacle, un contenu d’articles de constitutions, de lettres de motivation, de questionnaires et de réponses, de mémoires, de commentaires, de courriels. Un matériau brut au champ lexical plus proche de celui du juriste que du poète qui, dans les mains de Christian Lapointe, devient, pourtant, du théâtre. De la poésie. »

Michelle Chanonat
Constituons ! : Performance politique,
Revue Jeu, 2 juin 2019

« Elle est là, toute prête : 80 articles pour la toute première Constitution citoyenne du Québec. Présenté à l’Assemblée nationale ce mercredi, le document né d’un vaste chantier initié par le créateur Christian Lapointe vise à réitérer le rôle du théâtre comme « agora populaire ».

Guillaume Bourgault-Côté
Le théâtre pour secouer la peur des élus,
Le Devoir, 29 mai 2019

« Les structures du pouvoir politique étant ce qu’elles sont, aucun élu n’a le courage de rénover notre démocratie de fond en comble, même si la promesse est sans cesse reconduite. Et si le théâtre était l’espace d’expérimentation privilégié pour essayer? Le metteur en scène Milo Rau a tenté le coup à Berlin dans un spectacle intitulé General Assembly. La compagnie suisse-allemande Rimini Protokoll avait balisé le chemin un peu partout dans le monde avec sa série 100% qui donne la parole à 100 citoyens d’une même ville. Voici maintenant venir Christian Lapointe avec un projet québécois dont les ambitions démocratiques sont encore plus affirmées. Rien d’étonnant de la part d’un homme de théâtre de sa trempe, abonné aux projets démesurés, comme la fois où il a lu Artaud sans interruption pendant près de trois jours au Théâtre La Chapelle. »

Philippe Couture
Démocratie direct,
Voir, 21 août 2018

Portrait of restless Narcissism (P.O.R.N.)

« La question posée est pertinente : dans une culture de l’image et de l’apparence, à l’ère de la multiplication des rencontres et de la recherche du plaisir immédiat, le théâtre et l’art peuvent-ils résister à la tentation du pornographique ? Leur est-il possible de proposer une alternative ? Si oui, laquelle ? Par un habile et déroutant jeu de miroirs, la proposition de Lapointe et Ross nous renvoie à nos zones de complaisance et à ce qu’il y a de plus problématique dans ces vastes pans de nos vies passés derrière les écrans. Le fait que les deux artistes se mettent eux-mêmes en scène représente probablement l’un des aspects les plus forts du projet, en ce qu’il rappelle que le monde du théâtre n’échappe pas à la culture ambiante et qu’une démarche artistique rigoureuse ne peut en faire abstraction. »

Nelly Desmarais
Le théâtre au temps de la pornoculture,
Spirale, 26 mars 2018

« La rencontre de Lapointe et Ross laissait présager une proposition aux limites du théâtre et de la performance. Pari tenu, ce Portrait of Restless Narcissism sans concession se dessine comme une mise à nu de notre plus profonde intimité. En fond d’écran, comme énoncé de sa démarche d’artiste, Lapointe annonce que ceci n’est pas du théâtre, pas es acteurs sur scène, mais eux-mêmes qui se donnent en pâture au public. On ne joue pas, on s’expose comme une particule folle happée dans la déferlante du Web. »

Alain-Martin Richard
Le virtuel de nos désirs,
Revue Jeu, 26 février 2018

Les beaux dimanches

« Force est d’admettre que pour monter les œuvres de ce pionnier de la dramaturgie québécoise, il faut désormais bousculer un peu une forme qui trahit son âge. Christian Lapointe livre une lecture dépsychologisée, décalée de ce texte verbeux. Il a décorseté la langue — ce français normatif auquel Dubé tenait tant –, ici plus familière et directe. »

Marie Labrecque
«Les beaux dimanches»: décalage générationnel,
Le Devoir, 10 décembre 2018

Le reste vous le connaissez par le cinéma

« Ce talentueux metteur en scène, auteur et comédien dans la quarantaine ne cesse de nous surprendre. Il y a quelque temps, Christian Lapointe nous offrait une mise en scène décoiffante de la pièce Le reste vous le connaissez par le cinéma, à Espace Go. Cette fois-ci, il nous réserve à nouveau une belle surprise avec une relecture contemporaine de Les beaux dimanches. »

Micheline Rouette
Les beaux dimanches,
ARP Média, 9 décembre 2018

« Sans perdre la charge dramatique de cette tragédie millénaire, le texte de Crimp et la mise en scène déjantée de Christian Lapointe renouvellent le propos des Anciens en posant des questions très modernes sur le pouvoir, la politique et la place des femmes. »

Benoit Valois-Nadeau
Métro craque : Le reste vous le connaissez par le cinéma,
Journal Métro, 21 septembre 2018

« Christian Lapointe ne recule devant rien lorsque vient le temps de déconstruire, de mettre en relief, de bousculer et d’analyser un texte. »

Jordan Dupuis
Le reste vous le connaissez par le cinéma,
Quartier général, 17 septembre 2018

Pelléas et Mélisande

« We’re more likely to come across the play now as the libretto for Debussy’s opera. But Christian Lapointe’s electrifying, cinematic production reclaims the original for a modern audience while remaining faithful to Maeterlinck’s bare-bones poetic script. Lapointe, one of the city’s edgiest directors right now, has been experimenting with symbolist texts for years, usually with a bold, boundary-breaking use of audio-visual effects. You may also remember him as the madcap hero of last year’s Festival TransAmériques, where he performed a punishing, 50-hours-plus reading of the works of Antonin Artaud. »

Jim Burke
Pelléas et Mélisande reborn as doomed rock stars in TNM’s radical rethink,
The Gazette, 22 janvier 2016

« Or si d’aucuns jugent ce Pelléas et Mélisande trop cérébral, voire trop verbal – reproche qu’on s’attendrait à lire dans certains médias, mais moins dans d’autres… –, il faudra vite répliquer à cette impertinence que l’intelligence de la mise en scène ne fait aucunement ombrage à toute la part tragique de ce théâtre ; l’Homme en est un face à la mort chez Maeterlinck, et l’écrivain «a éclairci bien des ténèbres, mais en outre il les a vivifiées» (le Mômo, encore). Ce constat s’applique d’ailleurs au travail de Lapointe et de toute son équipe qui réussit absolument à mettre en lumière le destin de l’Homme moderne tout en en faisant ressortir la part d’angoisse, mais sans pour autant signer une production inaccessible ; sombre ne veut pas dire terne, tout comme profond ne signifie pas impénétrable, il faut simplement savoir lire pour pouvoir y plonger un tant soit peu… car il s’agit bel et bien ici d’une poésie permettant d’échapper un temps à la nostalgie obscurantiste qui étouffe trop souvent la création, comme dans la pièce les étoiles sont souvent dissimulées par des cieux trop gris. »

Sylvain Lavoie
Un théâtre rêvé,
Revue Spirale, 20 janvier 2016

« Donner les moyens du TNM à un esprit libre comme Christian Lapointe, c’est faire advenir le meilleur du théâtre subventionné et l’élever à ce qu’il devrait toujours être : un théâtre d’intelligence, de risque et de savoir-faire, qui dialogue avec l’histoire tout en gardant les deux pieds dans l’infiniment présent. Avec sa très féconde mise en scène de Pelléas et Mélisande, le metteur en scène épris de symbolisme crée un puissant théâtre total. »

Philippe Couture
Théâtre total,
Voir, 18 janvier 2016

« Tremblement de terre au Théâtre du Nouveau Monde… il s’appelle Christian Lapointe… Le 4ème mur est brillamment abattu… Une expérience théâtrale… Il faut aller voir Pelléas et Mélisande. »

Radio-Canada Première

« On ne peut qu’applaudir (…) à la décision de l’institution de la rue Sainte-Catherine d’ouvrir grandes ses portes à l’audace, à l’intelligence et, disons-le, à l’avenir du théâre d’ici »

La Presse

« Un pur moment d’enchantement »

Le Huffington Post

Voir la revue de presse complète de Pelléas et Mélisande

Dans la république du bonheur

Lapointe semble avoir trouvé une manière d’amener le spectateur du côté obscur sans passer par la cruauté, mais plutôt par la jubilation. Le foisonnement de symboles sur scène crée une saturation qui nous permet d’absorber l’insupportable, de manière presque subliminale, pour, espérons-le, s’en purger. Avec Dans la République du bonheur, le Trident va encore plus loin sur la voie de l’audace, alors que Lapointe, lui, prouve une nouvelle fois qu’il a sa place parmi les voix singulières du théâtre mondial actuel et qu’il était plus que temps qu’il obtienne les moyens de ses ambitions.

Josiane Desloges
Plastique purgatoire,
Revue Jeu, 19 janvier 2015

« Christian Lapointe nous confirme, avec Dans la république du bonheur, qu’il est une grande voix du théâtre québécois contemporain et qu’il a un langage scénique qui lui est propre. Le spectacle montre une maîtrise des outils que Lapointe a souvent expérimentés dans les dernières années – caméras en direct, projections, distorsions des voix et des images, etc. […] Il y a, à la rencontre du texte de Martin Crimp et de Christian Lapointe, un univers qui est créé, un espace qui refuse la paresse intellectuelle et les histoires que l’on raconte pour se réconforter. Il se forme un théâtre certes cruel, mais engagé et engageant, qui est cohérent avec les vues et visées artistiques du dramaturge. Bien sûr, le théâtre de Lapointe est exigeant. Bien sûr, il décoiffe, il porte nos pulsions de mort. Mais il s’oppose au cynisme et au désenchantement. »

Marie-Hélène Constant
Dans l’espace, you’re a firework,
Revue Liberté n°308, Été 2015

« Christian Lapointe a construit à partir des mots de Martin Crimp une contre-utopie, un purgatoire perpétuel. Dans un écrin de plastique et d’artifices clinquants, un huis-clos familial impitoyable, une comédie musicale dépravée et un chant choral multimédia se superposent pour dessiner une République du bonheur hallucinogène. (…) Avec Dans la République du bonheur, le Trident va encore plus loin sur la voie de l’audace, alors que Lapointe, lui, prouve une nouvelle fois qu’il a sa place parmi les voix singulières du théâtre mondial actuel et qu’il était plus que temps qu’il obtienne les moyens de ses ambitions. »

Revue Jeu

« La proposition offre au regard un objet théâtral inusité, tenant à la fois du carnaval, de la technologie, de la rigueur et du désordre, et prouve, une fois de plus, que Christian Lapointe est rarement là où on l’attend. »

Le Devoir

« La mise en scène de Christian Lapointe recrée une ambiance festive, voire jubilatoire, alors que cette famille se déconstruit sous le regard captivé du spectateur. (…) Dans la république du bonheur est un hybride entre performance, théâtre post-humain, concert électro-rock et délire psychotique. »

Mon Théâtre

Sauvageau Sauvageau

« Sauvageau Sauvageau porte aussi la marque d’une autre idée forte qui irrigue la pratique de Christian Lapointe : le théâtre est une fabrique dont il faut donner à voir les rouages. Symbole fort de ce parti pris, un piano mécanique aux entrailles exposées laisse voir ses marteaux frappant la mélopée composée pour le spectacle par David Giguère. […] Ce refus de l’illusion ne se fait pas aux dépens de la transcendance, heureusement ; le piano a beau être ouvert, le voir s’actionner tout seul demeure saisissant, et sa musique nous hante. Il en va de même du jeu. Tout le mysticisme et la colère de Sauvageau sont charriés dans le monologue central de Szabo, affaire de flot verbal et de muscles. Lévite-t-il ? On dirait que oui… mais peut-être est-ce une question de foi. »

Alexandre Cadieux
L’icône qui pleure,
Le Devoir, 29 septembre 2015

« Incandescent**** » « La plus belle réussite de ce merveilleux spectacle est encore de nous faire voir que Sauvageau est vivant, que sa parole peut encore faire sourire, émouvoir,déranger. »

La Presse

« La mise en scène de Christian Lapointe (…) offre un spectacle remuant et touchant. (…) L’expression géniale de son immense sensibilité n’a pas suffi à maintenir [Yves Sauvageau]en vie. Son oeuvre inachevée demeure toutefois. Et le spectacle de Christian Lapointe se transforme en un hommage à la vie, un cri de douleur qui doit être entendu. »

Huffington Post

« La belle et grande trouvaille reste surtout le dédoublement de la voix en deux figures [de Yves Sauvageau], celle du jeune homme intense qui mit fin à ses jours et celle du quasi-septuagénaire qu’il aurait pu être aujourd’hui. »

Le Devoir

« Dans un monologue enlevé, Gabriel Szabo se donne, intense, haletant, possédé par la logorrhée, ce flot de paroles intarissable où il est question d’amour, de vie, de mort, de faim, de soif. »

Revue Jeu

Voir la revue de presse complète de Sauvageau Sauvageau

Far Away

« La force de Far Away, outre l’étrangeté de son univers, réside dans la mise en scène excellente et très cinématographique d’Édith Patenaude. On pense, ici et là, aux ambiances étranges du cinéaste David Lynch. On quitte la salle avec des questions, sans avoir tout compris ce qu’on a vu, mais convaincu d’avoir vécu quelque chose d’étrange et fort particulier. »

Journal de Québec

« Soulignons la grande complicité et l’unité de ton des comédiens, leur connivence dans l’espoir et le mensonge, dans les élans de vie qui viennent s’écraser sur le nondit. Scénographie, jeu et trame sonore construisent un superbe écrin pour cet inquiétant texte de la célèbre auteure britannique. »

Revue Jeu

« L’horreur nous arrive tout doucement, chuchotée au creux de l’oreille. […] Cette fable visuellement soignée où l’horreur est suggérée partout à mots couverts se déploie étonnamment, la plupart du temps, dans une grande douceur. »

Le Soleil

Act of god

« Une création aboutie et intelligente. »

Isabelle HoudeLe Soleil

« Un drame puissant. »

Jasmin HainsRadio-Canada

« Des acteurs crédibles et des émotions fortes. Allez-y. »

Catherine Genest, journaliste à Voir

Visage de feu

« On ne sort pas indemne de Visage de feu. »
« L’imparable puissance de la production passe par l’interprétation sans faille des acteurs. »
« À la scénographie, Jean Hazel s’est ici surpassé. »

Sylvie Nicolas, Le Devoir.

« Intense et bouleversante »

Sylvie Mousseau, Acadie Nouvelle

« Le metteur en scène Joël Beddows a dirigé le tout d’une main de maître »

Josianne Desloges, Le Soleil.

L’enfant matière

« La bifrontalité de l’espace scénique invite le spectateur à vivre avec le personnage, de manière immersive, les étapes de sa transformation. (..) L’obsession de la perfection et de la pureté humaine (…) prend chez Larry Tremblay le visage de la violence. Dans la mise en scène de Christian Lapointe, elle est montrée dans sa dimension insidieuse; elle s’inflitre au plus profond de l’humain, au coeur de sa pensée et de son intimité. »

Philippe Couture, Liberté

« La pièce est la rencontre attendue de deux créateurs singuliers: Larry Tremblay, auteur hors norme, et Christian Lapointe, metteur en scène dont le langage théâtral s’intègre ici parfaitement à la fable. Devant ce spectacle, on se sent convié à une expérience, certes un peu désagréable par son climat oppressant, mais visuellement et artistiquement achevée, où s’amalgament toutes les composantes pour créer un univers froid, déroutant, qui a le mérite de déranger et d’interroger sur le désir maniaque de perfection de notre société. »

Marie Laliberté, Voir

Octobre 70

« Cette expérience tient en haleine. Il était beau et touchant de voir toutes ces têtes penchées vers le sol, presque en communion devant une tragédie dont la conclusion est connue de tous. Un théâtre politique de cette trempe entraîne une réflexion fondamentale entre les convictions profondes et les moyens légitimes (ou non) pour l’incarner dans l’action quotidienne et dans un projet d’indépendance nationale. Les cinq comédiens de la distribution incarnent avec fougue et engagement des personnes réelles avec leurs failles, leurs emportements, leurs contradictions et leur humanité. »

Olivier Dumas, Mon Théâtre

« La mise en scène nerveuse crée un huis clos à la tension tangible »

Marie Labrecque, Le Devoir

Nature morte dans un fossé

« Nature morte (…) se fait objet visuel, objet sonore, objet de doutes et de réflexions, elle maintient le suspense narratif, livre la prestation théâtrale, renouvelle les règles du jeu, ose l’exploration en direct et l’humour au passage, dans une fascinante mise en lumière. »

Sylvie Nicolas, Le Devoir

« Ce texte offre tous les ancrages nécessaires à l’élaboration d’un langage théâtral inusité, mais qui frappe au cœur. »

Mon Théâtre

Kliniken

« Les acteurs réussissent ce tour de force sans fausse note, dans une mise en scène extrèmement vivante et réglée comme du papier à musique par Gill Champagne. »

Éric Moreault, Le Soleil

« Jean Hazel signe une mise en scène qui campe l’action de brillante façon : un grand mur couleur « plaster » place les comédiens à l’avant-scène, dans un espace réduit et oppressant. Instantanément, on se sent à l’hôpital : les couleurs des années 70 et le « vieux » sont symptomatiques de la maladie. Il n’y a pas de vie privée : la proximité est généralisée, on subit les autres dans une atmosphère déprimante.
Peut-on vraiment être libre quand on n’est pas « normal »? »

Sylvie Isabelle, Mon théâtre